Le poème qui ne l'a pas volé
Comme une trace qui se mobilise
Pour rentabiliser sa volonté.

C'est du viol en désir qu'est sa hantise
Ainsi que sa beauté est le soma
A ne se relancer que dans la crise.

Le cri de son cœur est à minima
Où de sa douleur est le précipice
A ce qui sollicite son aura.

Car la séduction est à l'orifice
A se désenclaver de sa raison
Pour rendre le plaisir assez propice.

C'est le déroulement de la passion
Qui engendre un esprit aussi vorace
A s'en remettre à la délectation.

Ainsi la femme n'est pas à sa place
Où elle voudrait se sentir aimé
Et donc se retrouver dans son espace.