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La bile noire de la mélancolie
me ronge telle une sombre gangrène
je sens en moi un flot de haine
s'élever comme un cri
J'ai poussé mon corps
dans ce précipice
qui, abîme du vice,
me prend, me distord
Enfin je me réveille
loin de ces entraves
je souffle et je bave
de cet intense sommeil
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Écrit par Orichalque
J'ai noirci les pages de ma douleur d'encre.
Catégorie : Divers
Publié le 20/09/2008
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Posté le 20/09/2008 à 14:23:02