Lever à l'aube, les yeux sur les dernières étoiles,
Le vers s'appose, les Cieux purs révèrent les espoirs,
Le rêve s'arrose des voeux du sain air et vraies gloires,
Que sait un homme des lieux du pérenne éclairage ?
Le svelte arôme est pieu, sûr, et sécrète ses voies,
Secrètes paroles, zestes de plume éphémère et sage,
Ce texte par formes précieuses hume les préceptes des soies,
Solfège d'accords, les preuses lunes s'aiment célestes sérails,
De métaphores et de brumes, l'être excelle et parle,
Le verbe, atoll des heures lues, est tel cet égard,
Ce message d'or et de musc génère des extases,
Le lettrage comme cette fleur, juste et belle des schémas
Se plait alors meilleure du bref esthète pétale.