Des pourvoyeurs de passages,
Des femmes grimaçantes.
Des trains à chaque étages,
L'avenir loin devant.
Un pays inconnu
Et mon coeur pénétrant,
Le long de chaque rue
Des espoirs ruisselants.
Une vie fécondé
Atteint par tant d'ardeur.
Quelque chose a tiré
De chaque revers sanglant.
Elle adoucit mes pleurs
La catacombes, l'éclipse,
L'infini voie lactée.
Et toujours je méprise
Le regard loin devant.
Des désirs inavouées
La routine des amants
Quelque chose a tiré,
Nous sommes mieux a présent.
Écrit par cocoboys@hotmail.fr
Que les femmes me pardonnent de n'être fait pour elle,
D'être comme un nuage qui recherche son ciel De n'être qu'un navire toujours à la détresse, Et cette envie de fuir de ceux qui sont en laisse ... Catégorie : Amour
Publié le 25/04/2012
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Commentaires
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Posté le 27/04/2012 à 13:31:44
Certes, oui mais encore ! Il y a abstraction et abstraction, comme dirait un des deux Dupont ! 'le long de chaque rue, des espoirs ruisselants' marque le lecteur ! Je suis moins preneur pour "une vie fondé" a qui tu retires tout féminité :) Peut-être également une invite à l'insertion de quelques interlignes, simple suggestion bien amicale, Bien à toi, al; |
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spock27 |