Les gorges caverneuses
Epiées par les désirs cinglants
Au dam des sourires suffoquants
La fin est Goudronneuse.
Retranché dans un fossé
La solitude te galvanise
Rien ni personne pour l'entremise
Père, mère et marée.
L'écho est un ami
Sous l'ardeur trainante que je hume
Mon crâne n'est qu'un brasier qui fume
Et bel et bien un replis.
Pour la pâleur des villes.
Je marche dans la grisaille
L'aube claire dans mes entrailles
Un dernier battement de cil.
Écrit par cocoboys@hotmail.fr
Que les femmes me pardonnent de n'être fait pour elle,
D'être comme un nuage qui recherche son ciel De n'être qu'un navire toujours à la détresse, Et cette envie de fuir de ceux qui sont en laisse ... Catégorie : Divers
Publié le 02/12/2015
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Commentaires
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Posté le 03/12/2015 à 09:27:13
Un beau poème ..que j ai lu plusieurs fois ...jolies rimes | |
MARIE L. |
Posté le 03/12/2015 à 14:23:25
Emprunt de grisaille. | |
eric |