Minutieusement tout était impeccable,
Les gens s'ennivraient dans la routine du quotidien,
Quand j'y laissais les esquisses du goût de mon venin,
Insidieusement englouti sur le bord de la table.
Le troupeau suivait sa route ne s'interrogeant point,
Jadis ta candeur ravissaient les étables,
Blessures indolores, douces injections létales,
Simplicité avérée dans les moments soudains.
Ma révulsion n'en fut pas des moindres,
À la découverte des braises insatiables,
Que la dernière goûte ne soit pas de l'érable,
Si subsistes les doutes il me faut te faire geindre.
Agrippant dans ma course l'éternelle flamme,
J'ai sur cette morne planète pour seule occupation,
L'inéluctable désir d'assouvir mes pulsions,
Ne fusse que te donner ce qu'il reste de mon âme.
Écrit par cocoboys@hotmail.fr
Que les femmes me pardonnent de n'être fait pour elle,
D'être comme un nuage qui recherche son ciel De n'être qu'un navire toujours à la détresse, Et cette envie de fuir de ceux qui sont en laisse ... Catégorie : Divers
Publié le 04/01/2017
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Commentaires
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Posté le 04/01/2017 à 20:18:32
J'apprécie votre poème, il me remémore des moments d'intense dépense. | |
jacou |
Posté le 24/07/2022 à 13:34:52
oh yes beauty | |
marinelise |