Que n'ai-je (moi, qui n'en peut dire plus sur moi)
Vent d'ange - s'il existe, il ne fait que passer -
A (compatissants, les tribunaux des émois)
Produire un titre, à seule fin d'écrire : ASSEZ
Saveur ; rien dire si ce n'est qu'écho en soi
Délicate (ment celui voulant s'excéder)
Couleur, pour prendre du recul, que l'on assoit
Eclat ante-mortem : fruit pressé, décédé
Un (roman fleuve : au seau le poème tiré)
Vin comme l'eau veine coulera dans mon sang
Nouveau par le grave d'un cerveau attiré
Pour d'un liquide allié - cette Cène que sent
Mon âge venir -, s'écouler en carreau d'herbe
Ivresse à disparaître ainsi que fait mon verbe
![]() |
Écrit par jacou
L'art alchimique me tue, me transmute, me sublime. J'en renais plus fort, poétiquement. À suivre.
Catégorie : Drole
Publié le 22/03/2014
|
Ce texte est la propriété de son auteur. Vous n'avez en aucun cas le droit de le reproduire
ou de l'utiliser de quelque manière que ce soit sans un accord écrit préalable de son auteur.
Poème Précédent | Poème Suivant |
Drole à découvrir... | Poèmes de jacou au hasard |
Commentaires
Annonces Google |
Posté le 22/03/2014 à 07:26:55
![]() |
je dois bien avouer que je n'ai rien compris! mais vous savez écrire |
flipote ![]() |
Posté le 22/03/2014 à 12:21:23
![]() |
C'est un poème acrostiche : Que n'ai-je vendange à produire - saveur délicate, couleur éclatante - un vin nouveau pour mon ivresse ! |
jacou ![]() |