Courrons vers nous même
Comme deux gosses idiots
Puisque nous ne savons que tourner le dos
A tous ce qui nous aime
J'ai cru à ce bonheur
Celui que l'on caresse du bout des doigts
Celui auquel on ne croit qu'une fois
Et celui qui vous brise le cœur
Enfant de salaud
L'humanité ne t'as pas connue
Des personnes comme moi ça court les rues
Nous n'avons pas compris tous les mots
Ce qui nous laissent sans espoir
Puis sans voix à la fois
Ce qui nous font ni chauds ni froids
Ceux auxquels on n'ose pas croire
Perdu comme une ombre
Tu n'as pas su marcher
Même si un jour tu as aimé
Tu es redevenu sobre
Ce qui marche dans la rue
N'ont pas une plus belle vie que toi
Et oui tu vois!
C'est une cause perdue
Courrons vers nous même
Pour nous embrasser
S'aimer toute une année
Pour s'écrire un poème
Pour voir d'autre chose
pour s'offrir une pause et achever
Le temps durement passé
Et se relever si on ose
Tu vois c'est pas si mal
Viens vivre avec nous
On ne veut pas vivre à genoux
Mais avoir le moral
Pour garder nos tristesses
Pour les oublier
Aller boire un verre au café
Et se faire des promesses
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Écrit par rosebonbon
La froide beauté de la femme stérile
Catégorie : Amitié
Publié le 09/09/2009
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Très bel écrit....mais j'ai pas compris certains passages .. du je pense a des oublis et a de l'inattention de ta part ! La deuxième strophe " Enfant de salaud .... surtout la fin " Bienvenue sur ce site |
Syl ![]() |
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Je trouve la dernière strophe fluide et bien construite. Tu ponctues ton poème par l'expressif des mots. Cette technique est délicate et devient intéressante lorsqu'on maîtrise davantage des images ou paraboles. Trés bon début tu as la fibre. A bientôt chère poétesse. |
singe vert ![]() |
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magnifique! amitié! |
MARIE L. ![]() |
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Je réédite mon premier ressenti .... Très très beau poème |
Syl ![]() |