Ce que, sans l'oser, tu crains de moi
Ce n'est que ma distance "louve"
Puisque je t'observe jamais ne bouge,
Sans indifférence par mon choix.
Traversé d'images dures comme bois
Mon regard pourrait devenir rouge.
Ce que, sans l'oser, tu crains de moi
Ce n'est que ma distance "louve"...
Colère ne fera pas la loi
Quelque soit la peine que j'éprouve,
Notre amour se vide, ne le rembouge !
A trop guetter mon dos courbe et ploie.
Ose donc dire ce que tu crains de moi.
zenobie d'Ève
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Commentaires
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Posté le 11/01/2012 à 08:18:53
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OH OUI OUI OUI encore de cette farine là c'est du nanan le contenu est , qui sait? tragique et conflictuel , mais l'emballage alors ,,, il n'y a que toi bros poutounas |
flipote  |
Posté le 11/01/2012 à 11:29:15
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très joli |
PATGUI  |
Posté le 11/01/2012 à 17:54:56
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C'est très variable, ça, la "distance louve" et ça a de plus vocation a évoluer. C'est probablement ce que l'on appelle apprivoiser, ce qui reste aussi "inachevé". Joli poème. |
| Lapsus |
Posté le 11/01/2012 à 23:22:53
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je te réponds demain bisous |
| flipote |
Posté le 12/01/2012 à 11:11:00
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Superbe, Je t'imagine tapie et prête à bondir et apparemment tu fais peur.J'aime beaucoup . |
| TANGO |
Posté le 12/01/2012 à 11:30:23
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Je crois que c'est ce que j'ai lu de plus parlant sur la force d'un regard ...pourtant silencieux !!...je me trompe chère poétesse ??? Je t'embrasse ;) |
Yuba  |
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